L'observation consciente
Bonjour Sandra,
Est-ce l'observation consciente qui fait en sorte de voir le début de la manipulation via la pensée ? Cette observation désactive le déclenchement des mémoires et émotions reliés à une pensée en particulier ? Est-ce une façon d'éviter la diffraction de l'énergie ?
Merci,
Gérald (Québec)
Bonjour Gérald,
Afin de commencer à percevoir le réel de l’énergie derrière la pensée, le corps mental doit être suffisamment élevé en vibration. Lorsque ce corps subtil est prêt, l’ego est amené à vivre plusieurs moments de souffrances qui servent à lui faire ressentir un décalage entre ses pensées et qui il est. Quand cela se produit, l’ego ne croit pas les pensées diffractées mais les regarde avec un certain recul. Durant ces courts moments de « cul-de-sac psychologiques », des nouvelles connections se mettent en place dans son mental. Ensuite, par correspondance vibratoire, son sixième chakra (qui correspond à l’esprit et au corps mental) met en vibration son deuxième chakra (qui correspond à l’âme, mais aussi aux corps subtils inférieurs). L’énergie de l’esprit trouve alors une correspondance dans la forme de l'âme, d’où la création graduelle de son double éthérique.
L’observation consciente est utile dans la mesure où l’ego prend conscience du décalage qui existe entre ses pensées et sa nature cosmique. Il devient alors apte à ne pas tomber dans le piège de croire les pensées qu’il reçoit, et peut conséquemment utiliser son feu cosmique pour dénoncer le mensonge que l’on tente de lui imposer via la pensée. Ce faisant, l’ego ne répète pas les schémas de la psychologie involutive et ne cristallise plus les formes mensongères dans son aura. Il utilise plutôt son nouveau relais quantique entre son sixième chakra et son deuxième chakra pour mettre en action le feu de son esprit. Des mémoires involutives sont alors transmutées, et la lumière qui était prisonnière de ces formes peut ensuite servir à la création de son double.
L’émotion est une manifestation de l’énergie de l’esprit dans l’ego. Si elle est vécue avec subjectivité, elle devient de l’émotivité – et c’est cette dernière qui est retardataire. L’émotivité maintient le voile de la croyance sur le mental de l’ego. Afin de ne pas diffracter l’énergie de l’esprit, l’individu doit parvenir à comprendre ce qu’il vit sans tomber dans la croyance que sa souffrance n’est pas réelle. La souffrance doit devenir le levier vers une étude de soi et du réel, et non servir à nourrir le mensonge. Ensuite, pour ne pas diffracter l’énergie de l’Esprit universel, l’ego doit rester positionné de manière à rester connecté à la réalité intrinsèque de qui est l’autre.
Au plaisir,
— Sandra Vimont, 31 décembre 2017